Dans un échange Twitter corsé, Stéphane VENNE, l’auteur-compositeur, arrangeur musical et producteur québécois réputé affirme trouver d’une admirable justesse le raciste, mesquin, mensonger et fourbe portrait que Lord Durham fait de nos aïeux et de la situation qui est la nôtre dans son rapport publié à Londres en janvier 1839. Il avait auparavant obstinément nié que Lord Durham soit raciste. Son constat étant selon Stéphane VENNE, factuel et politique. Comme si un constat politique ne pouvait pas être raciste, tordu, mensonger…
Stéphane Venne m’invite à lui signifier avec quel passage je ne suis pas d’accord, alors même que le message de présentation du texte présente des arguments qui contredisent les prétentions erratique de Durham. Rien ne semble ébranler les certitudes électives de l’auteur.
Twitter ne permettant pas de développer un argumentaire conséquent, j’ai répondu au mieux mais constate qu’on ne pourra pas venir à bout de la discussion dans un tel contexte et je me décide d’en faire un sujet d’article. Dont acte.
Pourquoi rédiger un tel argumentaire ? Parce que Stéphane Venne n’est très certainement pas le seul parmi les nôtres a prétendre que Durham avait raison de nous décrire d’une manière aussi navrante et donc aussi raison de théoriser et justifier les mesures prises pour imposer la domination britannique et le nettoyage ethnique qui en découle. Ce qui est parlant et crucial dans le combat à mener pour la libération du Peuple Souverain du Québec.
En effet, comment rayonner et nous libérer de l’emprise autocrate britannique si nous endossons la piètre opinion qu’avaient de nous les Conquérants britanniques.
Le syndrome de Stockholm anglo-mono-maniaque
Le syndrome de Stockholm est un phénomène psychologique observé chez des otages ayant vécu durant une période prolongée avec leurs geôliers et qui ont développé une sorte d’empathie, de contagion émotionnelle vis-à-vis de ceux-ci, selon des mécanismes complexes d’identification et de survie.
Le terme « syndrome de Stockholm » a été créé par le psychiatre Nils Bejerot en 1973.
Mécanismes sociologiques et psychologiques similaires
- Identification à l’agresseur : le mécanisme du syndrome de Stockholm peut se rapprocher des découvertes du psychanalyste Sándor Ferenczi– qui amènent Anna Freud à théoriser le concept d’« identification à l’agresseur » (Le moi et les mécanismes de défense, 1936). Erich Fromm dans La peur de la liberté étend ce concept à identification à l’autorité ou à l’idéologie dominante.
- Syndrome de Lima : un syndrome similaire peut s’appliquer aux ravisseurs lorsque ceux-ci sont influencés par le point de vue de l’otage. On parle dans ce cas de syndrome de Lima.
- Relation entre le dictateur et son peuple : la haine envers le dictateur, ajoutée à la peur qu’elle puisse être découverte provoque dans le sujet une simulation de sympathie à laquelle le sujet finit par croire. Il y a un mécanisme de refoulement capable de se transformer en admiration ou idolâtrie. Ernesto Sábato dans Nunca màs commente l’existence d’apologistes de la dictature qui ont eu une sensation de s’être « réveillés » après sa chute.
- Violence conjugale
- Maltraitance
- Éducation parentale (avec violence et contrainte)
Dans ces trois derniers cas, les individus battus ne se plaignent pas, n’osent pas résister ou dénoncer et, malgré des moments de doute, croient (devoir) éprouver de l’affection pour leur(s) tortionnaire(s), qu’ils idéalisent.
Source : Le syndrome de Stockholm | Wikipédia
Le dit syndrome consiste à endosser le portrait de soi que font les ravisseurs ou abuseurs ainsi que leurs thèses ou revendications, aussi délirantes ou inconséquentes soit-elles. Ici, l’endossement est sans équivoque non sans carburer à l’admiration pour la justesse du portrait dressé par l’abuseur.
Il s’agit clairement d’endosser les agressions verbales et psychologiques consubstantielles des pressions, privations, contraintes et menaces exercées par l’abuseur, ici, le Conquérant britannique représenté par Lord Durham, typique de la violence exercée par un abuseur…
Elle s’exprime par des agressions verbales, psychologiques, physiques, sexuelles, des menaces, des pressions, des privations ou des contraintes pouvant causer chez la victime des dommages psychologiques, physiques, un isolement social voire aller jusqu’à la mort.
Il peut s’agir d’un phénomène circonstanciel (violence situationnelle), mais aussi parfois d’un processus systémique et évolutif (terrorisme conjugal).
Un portrait peu flatteur et mensonger
Affirmation par affirmation
On ne peut guère concevoir nationalité plus dépourvue de tout ce qui peut vivifier et élever un peuple que les descendants des Français dans le Bas-Canada, du fait qu’ils ont gardé leur langue et leurs coutumes particulières.
Du seul fait d’avoir gardé notre langue française et nos coutumes « particulières »… nos aïeux,les d’ascendance neufrancienne ( les descendant,es des Français,es de Nouvelle-France ) seraient soi-disant privé,es d’après Durham et Stéphane Venne qui abonde, « de tout ce qui peut vivifier et élever un peuple ». Autrement dit, ce peuple que formait est privé de ce qui peu l’élever, il est donc livré à la bassesse, et, réciproquement bien sûr, les Anglos du Haut-Canada eux, ont pu s’élever… et pu disposer de tout ce qui peut vivifier un peuple, aussi simple que ça… Par voie de conséquence, en renonçant à leur langue et leurs coutumes « particulières » nos aïeux,les auraient pu forcément, comme les Anglos disposer de tout ce qui peut vivifier et élever un peuple, à savoir, la culture britannique du Royaume-Uni, sa littérature, ses arts, son théâtre, etc… Sauf que… ce faisant, nos aïeux,les ne formeraient plus un peuple distinct… mais bon… c’est un détail…
Et pourquoi tout ça! Parce que… Nos aïeux,les auraient formé…
…un peuple sans histoire et sans littérature.
Or, pour en venir à cette conclusion, il faut carburer à une triple dissociation cognitive.
Une première qui confond Peuple et Peuple. D’un côté il y aurait Le Peuple d’ascendance neufrancienne, le Franco coupé de la France, et de l’autre l’Anglo qui lui n’en serait pas coupé du Royaume-Uni. Or, ce n’est pas parce que les Britanniques s’imposent de force et d’autorité autocrate impériale sur le territoire national de nos aïeux que nous sommes coupés de la culture française des Lumières, pas plus que ne le sont les Anglos du Canada ne le sont de celle du Royaume-Uni.
La translation fallacieuse et sophistique
Le Peuple anglo du Haut-Canada lui aussi est sans littérature et encore bien davantage que ne sont les franco du Bas-Canada car les Anglos n’ont pas 150 ans de Relations des Jésuites, ni nombre d’ouvrage écrit par des Français,es de Nouvelle-France dont Histoire et description générale de la Nouvelle France et autres écrits de Pierre-François-Xavier de Charlevoix qui décrivaient très bien les cultures des 1eNations partout dans la Nouvelle-France, de Tadoussac au Golfe du Mexique et de Port-Royal au confins du Lac Winnipeg, et qui ont inspiré les philosophes des Lumières dont Jean-Jacques Rousseau qui fut son élève ( Cf L’eau d’érable, le Bon sauvage et le Siècle des Lumières ) et son concept de Bon sauvage et j’en passe. Sans parler du fait que deux ans avant la publication de son rapport est publié en 1837 le premier roman de Philippe Aubert de Gaspé, fils.
Ainsi, non seulement il est strictement inexact de prétendre que nous étions sans littérature propre, mais de plus nos aïeux étaient comme les Anglos du Canada, intimement connectés à la culture française de notre amère patrie de France, connectés à la littérature française, la musique européenne, etc…
Quant à notre histoire, elle comptait en 1839, 231 années en continue, soit 151 de plus que celle les premiers Anglos de la Conquête. Pourquoi là nôtre serait négligeable et pas celle des Anglos du Canada?
Ce n’est possible que dans une translation typique de la dissociation cognitive débilitante, à savoir comparer non pas les deux « races » anglo et franco des Haut et Bas-Canada dont parle partout dans son rapport Lord Durham, mais comparer les seuls Francos du Bas-Canada et les Anglos tout court qu’ils soient du Haut-Canada ou du Royaume-Uni. Durham passe de l’un à l’autre en pensant qu’on n’y verra que du feu. De fait, Stéphane VENNE n’y voit que du feu et il n’est pas le seul, même 182 ans plus tard…
Sans telle dissociation cognitive, il n’y a aucun fondement à la théorie raciste ethnocidaire de Lord Durham dès lors qu’on parle de la même chose, à savoir des deux « races » des Haut et Bas Canada. L’Anglo est sans littérature et la Franco dispose d’une littérature, balbutiante certes, mais conséquente qui compte 231 ans en 1839. La preuve étant que moins de 150 ans plus tard, notre littérature, nos arts, concurrencent les plus grandes littératures et cultures de ce monde et n’ont rien à leur envier et ce, malgré ce qui a été produit depuis la Conquête contre nous pour nous faire disparaître.
Comme quoi, même sans culture et sans littérature, un peuple n’en est pas moins digne de faire partie du concert des nations, autrement dit, même si le portrait biaisé et méprisant de Lord Durham était fondé, l’Histoire lui a donné tort. Rien ne justifiait sa volonté de nous faire disparaître, de nous assimiler pour nous faire disparaître. Sauf que, en plus, son portrait est éminemment biaisé par un dissociation cognitive sophistique débilitante.
« La littérature anglaise est d’une langue qui n’est pas la leur ; la seule littérature qui leur est familière est celle d’une nation dont ils ont été séparés par quatre-vingts ans de domination étrangère, davantage par les transformations que la Révolution et ses suites ont opérées dans tout l’état politique, moral et social de la France. »
La littérature qui nous était familière était la nôtre, la française, ajoutée à celle des Jésuites Français et Neufranciens, dont celles précitées plus haut. Comme l’était celle du Royaume-Uni pour les Anglos du Haut-Canada. Nous avons été Conquis, mais ce n’est pas pour autant que nos aïeux,les ont été séparés de la France. Pas plus que ne l’étaient les Anglos du Canada, séparés du Royaume-Uni par un fleuve océan et l’Atlantique, comme nous. Il n’y avait pas de blocus. Nous pouvions voyager. Nombre des nôtres ont fait nombre de séjour dans l’amère patrie, voire, fait leurs études en France de la Révolution française et des Lumières ensuite. Ce que déplore Durham.
Nous aurions été séparés de « la Révolution et ses suites ». Or, rien n’est plus faux, mais cela lui permet de mettre la table pour tout anglais monarchiste, outré par la Révolution française régicide et Napoléonienne. Il n’a pas besoin de s’étendre sur le sujet, « les transformations » de la France de la Révolution et de « ses suites » sont immorales. Ce qui témoigne du racisme atavique anti-français des Anglos.
« Toutefois, c’est de cette nation, dont les séparent l’histoire récente, les mœurs et la mentalité, que les ( French canadian ) Canadiens français reçoivent toute leur instruction et jouissent des plaisirs que donnent les livres. »
Autrement dit, il faut couper les « French canadian » de cette si mauvaise influence d’une France régicide immorale qui se manifeste dans la littérature française. Les autodafé ne sont pas loin…
Il ne faut pas oublier que son rapport est écrit à l’intention des Anglais du Royaume-Uni. Suffit de mentionner les moeurs de la France pour que tout bon Anglais comprenne qu’on parle de l’immoralité de ces moeurs française à l’époque de la récente victoire du Royaume-Uni sur l’Empire français de Napoléon 1er en 1815, à peine 24 ans plus tôt.
Le grand-père du père de mon père, patriotes emprisonné avec le Chevalier de Lorimier, porte le prénom de Napoléon, Joseph Napoléon Azarie Archambault, comme nombre d’autre Bas-Canadiens de l’époque ( Cf Mémoires de prison ). Comme quoi, malgré la distance, malgré la Conquête, nous étions d’étroite connivence avec la France des Lumières. C’est bien ce qui effraie tant Lord Durham, c’est cette étroite connivence qu’il croit de toute première instance nécessaire, vital, de détruire. Ce qui d’emblée emporte l’adhésion des racistes Anglos anti-français et anti-France qui se levaient la nuit pour la détester.
Mais comme ce n’est pas littéralement exprimé par Lord Durham, il faudrait à certaines victime du syndrome de Stockholm que celui-là se dise lui-même raciste anti-français pour que d’aucun,es admettent qu’il l’ait été, comme la majorité des Anglais,es monarchistes de l’époque. Guillotiner une tête couronnée voire deux avec la Reine, ça ne se fait pas, c’est immoral et impardonnable. Durham n’a pas besoin de le dire, c’est implicite. Lui suffit de parler de la Révolution française et le tour est joué la connexion entre la détestation de la France et les French Canadians est faite dans la même phrase. Ce pourquoi du reste il forge cet exonyme insultant pour nommer les Bas-Canadien,nes d’ascendance neufrancienne ( française de Nouvelle-France ). Mais encore faut-il le comprendre.
Lord Durham utilise pour nommer les Bas-Canadien,nes d’ascendance neufrancienne l’ethnonyme French à ± 46 reprises et utilise aussi pour les nommer son nouvel exonyme French Canadians et ce, à moins de 10 reprises.
« C’est de cette littérature [française] entièrement étrangère, qui traite d’événements, d’idées et de moeurs tout à fait inintelligibles pour eux, qu’ils doivent dépendre. La plupart de leurs journaux sont écrits par des Français de France. Ces derniers sont venus chercher fortune au pays ou bien les chefs de parti les y ont attirés pour suppléer au manque de talents littéraires disponibles dans la presse politique. »
La littérature française était « entièrement étrangère » à la race anglo, mais certainement pas à la franco. Elle traitait notamment de la France des Lumières qui s’inspirait de ce que nous avions vécu comme échanges culturels avec les 1eNations tel que l’a raconté notamment le Jésuite français Pierre-François-Xavier de Charlevoix dans son Histoire et description générale de la Nouvelle France et autres écrits de tel que précité ; lui qui est venu parcourir pendant 6 ans la Nouvelle France de bout en bout (par 2 fois 1705-1709 et 1720-1722 sur près de vingt ans). La Révolution française n’avait rien d’étranger à ce que nous vivions, au contraire et ses leçons étaient parfaitement intelligibles.
Quant à nos journaux, il était faux de prétendre qu’ils étaient écrits par des Français de France… c’est faire fallacieusement impasse sur la presque totalité des fondateurs et rédacteurs du journal Le Canadien, dont le Bas-Canadien Étienne Parent. Pareil pour les rédacteur de La Minerve. On se demande d’où il sort une telle fausse nouvelle digne d’un certain Trump… Ainsi les talents n’ont pas fait défaut… au contraire. Tout ça n’est que de l’intox permettant de disqualifier fallacieusement les Bas-Canadien,nes.
« De la même manière, leur nationalité joue contre eux pour les priver des joies et de l’influence civilisatrice des arts. Bien que descendante du peuple qui goûte le plus l’art dramatique et qui l’a cultivé avec le plus de succès, et qui habite un continent où presque chaque ville, grande ou petite, possède un théâtre anglais, la population française du Bas-Canada, séparée de tout peuple qui parle sa langue, ne peut subventionner un théâtre national. »
Comme si chaque ville du Haut Canada était dotée d’un théâtre anglais… D’autant qu’il se faisait du théâtre en Nouvelle-France dès 1606…
« A vrai dire, le premier spectacle, on le trouve à l ’ origine même de la colonie. Marc Lescarbot, premier historien de la Nouvelle-France, écrivit et fit représenter sur les flots de Port- Royal, le 14 novembre, 1606, au retour du pays des Armochiquois, du Sieur de Poutrincourt, chef de la deuxième expédition envoyée en Acadie par De Mons, le Théâtre de Neptune, « une gaillardise » en rimes. Les comédiens n’étaient autres que les membres de l’expédition qui attendaient à Port-Royal. Cette bluette fut publiée dans ses Muses de la Nouvelle-France et plus tard, éditée à Paris par Lescarbot qui en fit hommage à quelque grand seigneur. »
…
« Frontenac avait raison de dire qu’on s’était intéressé aux œuvres du théâtre en Nouvelle-France. C’est grâce au journal des Jésuites que l‘on a appris ce que fut ce théâtre. La première représentation dramatique à Québec remonte à 1640, alors que le gouverneur De Montmagny, dans une ordonnance, invita la population à célébrer le premier anniversaire de naissance du Dauphin, plus tard Louis XIV. L‘auteur de la relation nous rappelle que lors de la naissance du Dauphin, l‘année précédente, il y avait eu des feux de réjouissances ainsi qu‘une procession solennelle. Pour prolonger la joie et l‘affection de ses sujets, le Chevalier de Montmagny fit représenter une tragédie en l‘honneur du Prince. « Je n’aurais pas cru », dit-il, « qu’on eût pu trouver un si gentil appareil et de si bons acteurs à Québec… » »
L’Histoire du théâtre au Canada : pour un retour aux classiques.
Quant au fait de ne pouvoir subventionner un Théâtre national!? Comment le faire dans un contexte de domination par les Anglos de toute les sphères de la vie sociale, politique, institutionnelle, militaire, financière, industrielle et commerciale privant les Francos de toute espèce de moyen de faire autre chose que simplement survivre avec 3 fois rien, mais malgré ça, en moins de 120 ans, réussir à sécréter ce qu’il faut pour produire la Révolution tranquille qui permet à ce Peuple de se déployer à la face du monde dans tous les arts civilisateurs, littérature, médias écrits, bande dessinée, théâtre, cabaret, cinéma, télévision, musique classique et populaire, danse, arts visuels et médiatiques et autre grands et petits rires et cirques tant ordinaires qu’extraordinaires.
Ici, l’odieux en rajoute une couche sur la déjà très épaisse couche de l’ignoble. Non seulement il est ignoble de sciemment et méthodiquement tout faire pour piper les dés afin de dominer de force et d’autorité impériale un Peuple tout entier grâce à sa bonne fortune guerrière qui n’a rien à voir avec sa réelle force objective, mais tout à voir avec la chance et des circonstance outrageusement favorables, mais c’est odieux de se servir de ces conditions avilissante pour blâmer le dominé de l’être.
On est ici dans l’abus et la torture psychologique débilitante de la pire espèce, dans le chantage du harcèlement matamore. Comme un abuseur qui reprocherait à sa victime de n’avoir pas de vie sociale parce qu’elle n’est pas digne d’être appréciable et appréciée après avoir tout organisé, méthodiquement pour isoler sa victime de sa famille et de ses amis, non sans présenter la chose comme allant de soi étant donné les circonstance objectives justifiant tel isolement. Le comble dépravé, dévoyé et barbare de la rouerie et vacherie aussi dissolue que vicieuse et sadique.
Et PHOQUE la diversité culturelle de l’Humanité… vive un monde uniformément supérieurement civilisateur anglo-mono-maniaque…
SUITE à VENIR | Rafraichir la page de temps à autres…
P.S.
Je remercie M. Venne de m’avoir permis d’approfondir mes analyses et recherches et de perfectionner mon plaidoyer en faveur de la grandeur de ce peuple neufrancien qui est nôtre, parce qu’il fut celui de nos aïeux,les à qui l’on doit d’avoir cédé aux générations suivantes plus qu’elles n’avaient reçu du petit peu des précédentes, ce qui nous permet aujourd’hui de disposer de tout ce qu’il faut pour rompre avec la gouvernance COLLABO-provincialiste qui seule nous a permis longtemps de survivre à la disparition, seul,es au monde que nous étions, certain de ne recevoir de l’aide de quiconque, et qui aujourd’hui ne fait que valider un État de clair DÉNI démocratique autocrate canadian, en pure perte, une validation qui contredit toute espèce de prétention à fonder un État démocratique qui émane du Peuple.
On ne peut à la fois fouler aux pieds la Souveraineté démocratique du Peuple en le gouvernant en vertu de lois constituantes qui ne sont pas celles du Peuple tout en prétendant valablement participer à la Souveraineté de l’État du Peuple. C’est soit l’un soit l’autre, ça ne peut pas être les deux.
Ne reste qu’à donner l’occasion à ce Peuple de prendre le pouvoir pour RENVERSER tel État VOYOU du Royaume de la Couronne canado-brit.
Cf :
Plébiscite constituant révocatoire | D’abord INVALIDER l’État ILLÉGITIME du Canada !
Comment ? En donnant l’occasion au Peuple de se prononcer sur l’État actuel ILLÉGITIME du Cda pour l’INVALIDER au Qc
28 juin 2021
DÉMOCRATIE 101, DÉMOCRATIE 101 | culture, DÉMOCRATIE 101 | politique Qc, Lettres aux élites politiques du Québec