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Parcours politique de l’artiste/citoyen Luc Archambault auteur des textes de ce blog DÉMOCRATIE 101
Parcours d’artiste
Cf :
Page à propos du site Internet DIALOGUE ART/cité
Voir aussi le portail PDF du Parcours d’artiste via google-docs
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Cf : ici-bas au bas de la page
| Mémoires de prison | Joseph-Napoléon Azarie Archambault |
Grand-père du père de mon père | patriote | emprisonné sans procès pendant + de 5 mois | compagnon du Chevalier de Lorimier, ils ont passé de longs instants ensembles la nuit précédant l’aube du jour de la pendaison du Chevalier… Mon aïeul était le prochain sur la liste des suppliciés… Si les exécutions n’avaient pas cessé, moi et ma lignée jusqu’à lui ne serait pas de ce monde…
Joseph Napoléon Azarie Archambault est admis notaire par commission le 27 juin 1839 à Verchères.
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Parcours politique de l’artiste/citoyen Luc Archambault
Enfance à Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier et à Strasbourg ( France )
En 1967 j’avais 13 ans, j’étais le 23 juillet à Cap tourmente en camp de vacances sur les terres du Petit Séminaire de Québec, là où débute le Chemin du Roy tout près de Sainte-Anne-de-Beaupré, là où s’est rendu Charles de Gaulle ce jour-là, le jour de son arrivée au Québec, pour assister à une messe célébrée par le Cardinal Roy. Je me souviens encore de l’émoi palpable qui régnait ce jour-là dans le camp de Vacances du Petit séminaire de Québec. Un Charles de Gaulle qui ne m’était pas étranger, puisque je l’avais en quelque sorte connu en France quelques années plus tôt en 1965, puisque j’avais séjourné 14 mois à Strasbourg à l’âge de 11 ans, là où s’est rendu mon père avec sa femme et leurs 5 enfants pour compléter sa 3e année de spécialisation en radiologie après 10 ans de médecine générale de médecin de campagne à Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, pays natal des poètes et auteur,es St-Denys Garneau et Anne Hébert.
Ce n’est que plusieurs années plus tard que j’ai pu comprendre et mesurer la considérable portée de ce passage historique mythique de Charles de Gaulle au Québec et celle de son cri signalétique VIVE le Québec LIBRE ! le pendant du cri qui terminait ses appels à la LIBÉRATION en juin 1940 VIVE la France LIBRE ! Cf Appel du 22 juin 1940
Pendant ce séjour prolongé en France, j’ai eu l’occasion de me rendre entre autres lieux, à Berlin, avec mes parents, et ce, 20 ans seulement après la fin de la deuxième guerre mondiale ; restaient encore à Berlin des traces de ses ravages, dont un édifice en ruine conservé en l’état, pour mémoire, ce qui m’avait particulièrement frappé, sonné ; comme je l’ai aussi été par le passage du mur de Berlin pour entrer en Allemagne de l’Est, puis à Berlin, puis à Berlin Est sous contrôle soviétique ; c’était la première fois que je côtoyais des soldats en armes, mitraillette au poing, ce qui n’a pas manqué de marquer l’enfant que j’étais.
Nous avons aussi visité les camps de concentration et d’extermination de Natzweiler-Struthof en Alsace, de même que celui de Dachau en Allemagne… C’est une chose que d’en entendre parler, que de voir des images, que de consulter un site Internet, que de visionner un film ; c’est autre chose d’être sur place…
Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier, pays des auteurs Anne Hébert et Hector de St-Denys Garneau ou j’ai passé mon enfance de 1954 à 1965, est situé près du Camp militaire de Valcartier, j’avais pu voir de temps à autre passer des convois de camions militaires. À Strasbourg, c’était de temps à autres des convois de chars d’assauts qui faisaient trembler le sol sous nos pieds et résonner dans nos oreilles, et ce, encore en 1965 ; le bruit assourdissant des rails de métal sur les pavés et le bitume était saisissant.
J’ai gardé de tout cela une aversion profonde pour les horreurs de la guerre, pour la guerre elle-même, et j’ai pris fait et cause pour la démocratie pacifiste, contre toute dictature.
C’est à Strasbourg que nous avons appris que le gouvernement de Jean Lesage avec été battu le 5 juin 1966 ; j’ai souvenir de la stupéfaction de mes parents qui avaient mis de grands espoirs dans la Révolution tranquille. Ils militaient pour le contrôle des naissances et la prohibition catholique de telles mesures de contrôle. En 1962, un papier publié dans Maclean signé par Jean O’Neil fait état de la lutte de mes parents contre la ségrégation sexuelle dans l’Église catholique et pour le contrôle des naissances, peu avant la commercialisation de « la pilule » contraceptive. L’une des photos publiée à l’époque est un temps utilisée pour la couverture de l’ouvrage intitulé La fécondité des Québécoises 1870-1970, publié chez Boréal.
Cette même année 1966, le frère de mon père, Jacques Archambault, syndicaliste, grand ami de Michel Chartrand, était nouvellement employé par l’ambassade du Canada à Paris. Le Politique était partie de la culture familiale, à gauche…
Plus tard, quand René Lévesque a fondé le Parti Québécois le 11 octobre 1968, parti qu’il a un temps pensé nommer le « Parti du peuple souverain », je suis devenu partisan de la souveraineté de l’État du Québec. J’admirais la verve et l’élan du René Lévesque de Point de mire, celui qui avait nationalisé l’électricité, celui qui avait quitté le Parti Libéral, et j’ai assisté à Québec à l’un de ses discours.
Pendant la Crise d’Octobre de 1970, j’avais 16 ans, j’étais en Secondaire V ; nous avons reçus des menaces de mort par téléphone parce que nous avions affiché des pancartes du PQ dans les fenêtres du salon de la maison familiale de la rue Rousseau à Sillery, exigeant qu’on les retire… On ne l’a bien sûr pas fait. J’ai écrit un article dans le journal étudiant, Tout va très bien madame La Marquise, pour dénoncer le fait que la réalité de la Crise n’était nulle part exposée dans l’enceinte de cette serre chaude qu’était le Petit Séminaire de Québec ; un ami avait illustré la chose d’un dessin montrant un char d’assaut aux portes du Petit Séminaire de Québec où nous étudiions. Les chars d’assaut entraient de nouveau dans ma vie… 500 personnes, avaient été injustement emprisonnées après l’imposition de la Lois des mesures de guerre, dont Pauline Julien, celle qui faisait partie d’un groupe folklorique dont faisait partie mon père et le comédien Paul Hébert, groupe ayant participé en 1948 au Festival International annuel de Folklore, à St-Louis, Missouri, États-Unis. Cf Ordre de bon temps 1948 Jeanne Auclair.
Âge adulte
En 1994, l’artiste et citoyen politisé que j’ai toujours été a été invité par Denise Carrier-Perreault | députée-ministre péquiste de mon comté des Chutes-de-la-Chaudière à l’époque | à rédiger un mémoire devant être déposé à la Commission nationale sur l’avenir du Québec (Wikipédia) lancée en 1994 quelques mois avant la tenue du référendum du 30 octobre 1995 par le nouveau Premier ministre du Québec Jacques Parizeau ( 26 septembre 1994 – 28 janvier 1996 (1 an, 4 mois et 2 jours)), non sans qu’il cite les 3 premiers mots de la Constitution des États-Unis : « NOUS, Le Peuple… », ce qui m’a fait l’effet d’un choc dans le contexte de ce que nous pourrions nommer le « souverainisme étatique historique » qui a toujours mis de l’avant l’indépendance de l’État, non pas celle du Peuple. Dès lors, ce n’était plus l’État @ venir qu’il fallait mettre de l’avant, mais bien Le Peuple, le seul valide fondateur de l’État démocratique du Peuple… @ venir.
Dès lors, il m’a fallu m’apprivoiser à cette vision politique nouvelle qui mettait de l’avant non plus l’indépendance de l’État du Québec, mais bien l’INDÉPENDANCE démocratique du Peuple ; non plus d’abord la Souveraineté de l’État du Peuple, mais bien, Le Peuple lui-même, et Sa Souveraineté à lui ; Son INDÉPENDANCE démocratique à Lui. Ce qui change tout…
La Commission précitée a tenu ses travaux du 6 février au 19 avril 1995 ( Cf : Rapports – Wikipédia ). Ma contribution cependant n’a pas été retenue…
« Entre le 6 février et le 5 mars, les 17 commissions consultatives mobilisèrent 280 commissaires qui tinrent 435 rencontres où se présentèrent 50 164 personnes. 4591 mémoires furent déposés au secrétariat national des commissions. jamais le Québec n’avait connu une expérience aussi intense de démocratie directe. Cette prise de parole populaire déborda largement le cadre de l’avant-projet de loi, les citoyens profitant de cette tribune pour exprimer leurs craintes et leurs attentes, et définir les paramètres de la société dans laquelle ils désiraient vivre. Contrairement aux prévisions des fédéralistes, le débat ne fut pas monopolisé par les tenants de la souveraineté et malgré la consigne de boycott de leurs chefs de file, les fédéralistes furent nombreux à se faire entendre. » Denis Monière | UMontréal | La démarche référendaire · Le Québec face à son destin | L’année politique au Québec 1994-1995 |
J’ai présenté ce mémoire au politologue Guy Laforest de l’ULaval pour recevoir ses avis au moment où il commentait la campagne du OUI dans les pages du Devoir en contrepartie des analyses d’un certain… Stéphane Dion pour le compte du camp du NON ( toujours professeur à cette époque, avant qu’il ne se lance en politique avec le PLC-Parti libéral du Canada ). Guy Laforest s’en est ouvert dans son dernier texte paru dans Le Devoir à titre d’analyste pour la camp du OUI ( Cf : Le Devoir | 1995 05 26 Guy Laforest | L’existence et la souveraineté du Peuple ), non sans inviter les souverainistes à tenir compte de mes propositions. Devant le refus du PQ d’en tenir compte, le professeur Laforest a tenté sa chance un temps auprès de l’Action démocratique ( aujoud’hui avalée par le CAQ | Coalition Avenir Québec ).
Dans les mois et les années qui ont suivi, j’ai tenu compte de cet échange avec Guy Laforest, ce qui m’a permis de mettre à niveau et d’augmenter mon mémoire initial jusqu’à produire ce texte intitulé | Nous sommes un Peuple | pdf | via google-docs | ouvrage toujours inédit qui a été refusé par maints éditeurs pour cause de conflit avec leur politique éditoriale…
En 2000, Jean-Paul L’Allier maire de Québec m’a demandé de créer une oeuvre d’art public pour orner le mur de pierre du parvis de l’édifice de l’Institut canadien. J’ai créé un bas-relief en pierre et deux sculptures de bronze. Une oeuvre intitulée NOUS SOMMES UN PEUPLE. Là où j’ai gravé dans la pierre :
« Nous, Nous sommes, Nous sommes un, Nous sommes un Peuple, Nous sommes Le Peuple du Québec ».
Plus tard, je suis amené à participer à la lutte contre le port et terminal méthanier Rabaska à Beaumont puis à Lévis et en mars 2006 je porte plainte auprès du Conseil de presse contre la couverture journalistique du Journal de Québec et de la journaliste Mme Annie Saint-Pierre pour cause de cumul prohibé des genres journalistiques. Les intimés étant, outre la journaliste : M. Jean-Claude L’Abbée, éditeur et chef de la rédaction et le quotidien le Journal de Québec ( Canoë ). Le Conseil de presse m’a donné raison sur ce point en première instance et blâmé les intimés. En appel, le Conseil a maintenu sa décision. Comme par hasard, entre le dépôt de l’appel et son étude par le Conseil de presse, M. Jean-Claude L’Abbée, qui s’occupait du dossier jusque là, a laissé la place à un gros bureau d’avocats de Montréal et… a pris sa retraite… à 55 ans…
En 2008, alors que la canadianisation de la fête du 400e anniversaire de la fondation de Québec battait son plein, Pierre-Paul Sénéchal, opposant au Port et terminal méthanier Rabaska, m’a invité à livrer un discours de trois minutes lors de l’événement du 3 juillet qui contestait cette canadianisation de la fête, tenu au Parc de l’Amérique française à Québec le jour même de l’inauguration des festivités. Plus tard, j’ai entrepris la rédaction d’une Lettre ouverte intitulée Mot de bienvenue d’un artiste québécois à Sir Paul McCartney qui a été endossée par ± 200 personnes dont le député Pierre Curzi et qui a fait grand bruit après sa publication le 15 juillet 2008, 5 jours avant la tenue du spectacle de Sir Paul sur les Plaines d’Abraham. L’artiste n’a pas déçu, il a brandi le seul drapeau du Pays où il se trouvait, celui du Québec, comme il l’avait fait à Kiev quelques mois auparavant, au moment on fêtait l’anniversaire de l’indépendance de l’Ukraine . ( Voir : Retour sur un détournement de message – Michel Roberge – VIGILE.net ).
Mot de bienvenue d’un artiste québécois à Sir Paul McCartney
par Luc Archambault, endossé par ± 200 personnes et personnalités,
dont le député du PQ dans Borduas (2007@ 2012) Pierre Curzi
En janvier 2010, je déposais auprès du Conseil de presse du Québec une plainte contre M. Martin Ouellet, journaliste ; M. Jean Roy, vice-président service de la langue française et La Presse Canadienne ; M. Romain Bédard, rédacteur en chef et le portail d’information Canoë ; M. Donald Charrette, directeur de l’information et le quotidien Le Journal de Québec, pour protester contre les prétentions du journaliste à l’effet que nous nous étions opposés à la bienvenue venue de Sir Paul, et qui s’en prenait à Pierre Curzi, validant ainsi la dérive médiatique qui avait accompagné en 2008 la publication de ma lettre ouverte à Sir Paul. Le Conseil de presse alors nouvellement présidé par le juge à la retraite John H. Gomery nous a donné raison. Comme par hasard, après que l’appel m’ayant donné raison fut publié en mai 2010, il se trouve que Canoë s’est retiré du Conseil de presse du Québec en juin 2010… ( Cf : Le Conseil de presse donne raison à Luc Archambault dans jesignequebec.com )
Entre temps, après la publication de ma lettre ouverte à Sir Paul, j’ai découvert le site Internet souverainiste VIGILE.quebec, j’y ai publié en 2008 et à 2012 pas mois de 189 titres et quantité de contributions à d’autres titres mettant essentiellement de l’avant l’UNION de toutes les forces démocratiques citoyennes et politiques du Peuple Souverain du Québec autour d’un même Programme COMMUN d’État démocratique républicain, et rédigé avec d’autres des Appels à l’UNION. ( Cf : page Auteur dans VIGILE.quebec )
Maints échanges publics et privés par courriel ont débouché sur la mise sur pieds le 19 fév. 2011, de l’Opération VIGILE du samedi pour la DÉMOCRATIE, se tenant depuis tous les samedis à 14h, PLACE du PEUPLE SOUVERAIN du Québec. Ce prochain samedi 4 février 2017, ce sera la 309e édition de l’OVS-CNQ – la 51e de l’An 6.
À compter de 2006 des textes sont publiés dans la revue L’Action nationale ; dans les No de avril-mai 2006 « D’où venons-nous ? Que sommes-nous ? Où allons-nous ? » | pages 132@134 ; de septembre 2008 « Conseil de presse | Dossier Rabaska » | pages 8@12 ; de janvier 2013 « Nous sommes… » pages 54@57
En février 2015, j’entreprenais la création du présent blog Internet DÉMOCRATIE 101 pour y rassembler mes écrits et pour mettre de l’avant une réflexion congruente à l’égard de ce qu’engage la DÉMOCRATIE, et ce, dans un contexte plus large que ce qu’engage la seule question nationale du Québec ; pour recentrer le débat autour de la DÉMOCRATIE et ce quelle engage à tous égards ici et dans le monde ; pour opposer AUTOCRATIE canadian et DÉMOCRATIE québécoise, tel que je l’expose plus précisément dans le volet DÉMOCRATIE 101 de ce blog Internet.
Récemment en 2014, le président des Archambault d’Amérique m’a appris que le grand-père du père de mon père décédé en 1891, 5 ans avant la naissance de ma grand-mère, Mâmie, le 10 août 1896, la mère de mon père, avait été emprisonné en tant que patriote et qu’il avait écrit ses mémoires.
Ma famille n’en n’avait pas gardé souvenir, ni mémoire. Il a fallu que j’atteigne l’âge de 60 ans pour l’apprendre.
J’ai pu donc avoir accès aux Mémoires de prison de mon aïeul patriote, le grand-père du père de mon père, Joseph Napoléon Azarie Archambault ( 10 juin 1811 Saint-Antoine-sur-le-Richelieu / 16 décembre 1891 à Varennes ) ; un texte écrit à Varennes le 20 octobre 1877 ; là où il est entre autres choses écrit qu’il a, dans sa cellule de condamné, accompagné François-Marie-Thomas Chevalier de Lorimier la nuit précédant l’aube du jour de son exécution par pendaison le 15 février 1839 à l’âge de 35 ans.
Mon aïeul était était étudiant en droit à l’époque de la rébellion et l’un des 4 patriotes suivants inscrits sur la liste des suppliciés emprisonnés devant être jugés et condamnés après l’écrasement de la Rébellion des Patriotes de 1837-1838 par les milices royalistes anglos et par l’armée britannique quand les exécutions et les poursuites ont cessé.
Il fut emprisonné ± 5 mois sans procès et sans être poursuivi et a été libéré sans subir de procès.
Il fut notamment…
Secrétaire à une assemblée patriote à St-Marc (Verchères) le 15 mai 1837. (Min 11-05-1837)
Secrétaire à une nomination patriote à St-Marc (Verchères) le 15 mai 1837. (Vin 26-05-1837
Secrétaire de l’Assemblée de Saint-Marc le 15 avril 1837.
Secrétaire à une réunion patriote à Varennes (Verchères) le 01 oct 1837. (Min 12-10-1837)
Prépare l’Assemblée des Six-Comtés tenue à Saint-Charles-sur-Richelieu le 23 octobre 1837.
Association des frères chasseurs et serment secret- organisation de la rébellion;
déposition contre lui et contre Louis-Adolphe Robitaille et le docteur Eugène-Napoléon Duchesnois.
Déposition signé(e) par Isidore Savaria, de Varennes. en date du 1838 12 05. Centre d’archives de Québec, E17 (1922-00-00125), dossier 1738, disponible sur microfilm M165/3
Association des frères chasseurs et serment secret- organisation de la rébellion; déposition contre lui et contre Félix Lussier.
Déposition signé(e) par Jean-Baptiste Blain en date du 1838 12 10. Centre d’archives de Québec, E17 (1922-00-00125), dossier 1739, disponible sur microfilm M165/3
Frère chasseur emprisonné à l’âge de 28 ans le 7 novembre 1838, puis libéré le 3 avril 1839.
On peut voir mention de son nom en tant que patriote au lien suivant dans le site Les Patriotes de 1837@1838
Je ne serais pas de ce monde s’il avait été pendu à l’âge de 28 ans en 1839.
Liste des 12 suppliciés exécutés par l’illégitime et indigne Couronne britannique.
Chevalier DeLorimer, notaire,
Charles Hindenlang, militaire français,
Pierre-Rémi Narbonne, huissier,
Amable Daunais, cultivateur et finalement,
François Nicolas, instituteur.
Daunais et Nicolas sont tous deux condamnés à mort à la suite de leur procès se terminant le 6 février 1838. Ils avaient déjà été accusés de meurtre contre Joseph Chartrand, un espion pour le compte des loyalistes, mais avaient été déclarés innocents en vertu d’un jugement rendu par un jury canadiens-français.
Luc Archambault | artiste et citoyen | St-Étienne-de-Lauzon, Lévis, Québec | 2015 02 27
luc-archambault@videotron.ca | luc-archambault.com | luc-archambault.qc.ca
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Opération VIGILE du samedi | la PAROLE CITOYENNE en Acte | Pour la DÉMOCRATIE !
PHOTOS des VIGILES antérieures
TOUS les samedis 14h PLACE du PEUPLE SOUVERAIN du Québec …
Parvis de l’ANQ, depuis le 19 fév. 2011 jusqu’en mars 2020 pour cause de pandémie.
± 465 VIGILES en ± 9 ans de pratique…
Pour l’UNION des forces démocratiques citoyennes et politiques
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